Cerf de Virginie, Odocoileus virginianus, White-tailed Deer

L'espace du cariacou se quadrille et s'amenuise, mais le temps, la nuit, lui appartient encore.
Là où hier après-midi je marchais, cette nuit les cerfs broutaient. Il y a, à cet endroit, un tapis de carex qu'une paresse chronique m'a empêché d'identifier.
Mais, puisque des cervidés s'y intéressent, la curiosité du dernier échelon des primates (où devrais-je dire des hominidés dans un respect de la hiérarchie qui ne me ressemble pas) est piquée au vif. Dernier, dans le sens de nouveau-né, mais pas nécessairement d'ultime. Quoiqu'au train où vont les choses...  
S'ils m'en laissent un peu, je ferai un effort.

1 commentaire:

  1. Les vues qu'offre cette caméra furtive sont autant de voiles levés sur cet autre monde qu'est la nuit, peuplé amplement il semble! Je trouve ça fascinant. Je partage cette paresse à identifier les carex, et à chaque fois que je m'attarde sur l'un ou l'autre je me dis que j'hésite à entrer dans la nuit de mon ignorance! Merci!

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